Vendredi soir comme d'habitude maintenant encore ce stress, ce coucher avec des frissons, de la fièvre, ce blottir fort contre ça photo, un vêtement à Ma Puce. Dormir que très peu, avoir peur de ma réaction. Me dire, ils arrivent demain comment je vais réagir, avoir peur de quoi, de qui je ne sais pas. Le lendemain peu être paraitre froid, en tout cas complètement a l'ouest, a coter de mes pompes, mais ne pas craquer. Ce sentir vivre un peu a nouveau, mais toujours avoir en tête. J'aurais tellement, tellement aimer que Christine soit la, pour rencontrer ma grande sœur, mes neveux et nièces. Elle le savait que je pensais souvent a eux, cette saleté de destin lui ne la pas voulu. Depuis c'est quelque mois j'avais cette sensation de ne pas avoir le droit de vivre, tout m'avais été enlever, la seule qui comptait plus que tout au monde m'avait été retirer de ma vie, si vite. Est la ce sentir exister un peu, même si j'ai eu beaucoup de soutien ici, sur docti, de ma belle famille, même si j'ai paru par moment agressif, froid. Çà compte beaucoup. Mais la c'est différent, c'est ici a Reims, je ne sais pas comment l'expliquer.

Je sais que quand on sais ce que je vie, on a peur de me heurter, on ne sais pas quoi me dire. Mais comment savoir ce qui va me faire mal, vivre me fait mal, voir les gens vivre me fait mal. Voir un enfant plein de vie face a moi, est ce dire que je ne connaitrais pas ça, me fait mal. Voir un couple s'aimer est ce dire que je ne l'ai plus me fait mal, ressentir comme une injustice, mais cette foutu vie est faite ainsi. Personne peu le savoir, est j'apprends avec beaucoup de patience de vivre avec. Il ne faut pas ce bloquer, pas penser a ça, je sais que c'est facile a dire. L'important c'est d'être la sans forcement dire beaucoup de chose, mais être la. Après toute c'est année ce retrouver tous, même si le hasard seul a choisi c'est circonstance. Je sais qu'a un moment ou un autre vous passerez ici. Est parfois je sais qu'il n'y a pas de mot, une présence suffi. Merci, juste merci.